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Coletivo
Rimini Protokoll
Artistas, grupos, coletivos...

Rimini Protokoll
Experimentamos o poder de representação da cena e o fato de que tudo que nela é mostrado se torna automaticamente teatro, mas pesquisamos também, o modo como o olhar se modifica segundo a natureza daquilo que é colocado em cena. São peças onde não se sabe mais onde começa o teatro e onde acaba a realidade. Trata-se de percepção, de recognição do mundo e, particularmente, dos homens.
(texto extraído do site do coletivo alemão Rimini Protokoll)
Na busca de entender o que na cena contemporânea vem se convencionando chamar de Teatro Documentário (1), é que desenvolvemos a breve exposição que se segue. Essa primeira fase da reflexão foi um desdobramento do experimento Festa de separação: um documentário cênico (2008) (2), espetáculo que tem sua dramaturgia e cena constituídas por material autobiográfico elaborado a partir de festas de separação, verdadeiros happenings, que foram a base do processo de criação. Nos perguntamos então sobre as implicações de uma cena constituída a partir do “real” e passamos a refletir sobre os diferentes pressupostos e elaborações através de obras de artistas como a argentina Vivi Tellas ou o coletivo alemão Rimini Protokoll.
LEIA :
http://teatrojornal.com.br/2016/03/acontecimento-ou-mais-um-evento/#more-16623
http://teatrojornal.com.br/2015/03/uma-aproximacao-tatil-ao-contexto-belico/#more-13055
Le Rimini Protokoll, un collectif théâtral
Les membres du collectif de mise en scène Rimini Protokoll se sont rencontrés dans les années 90, au cours de leur formation à l’Institut des Sciences théâtrales appliquées de Giessen, sorte d’Ecole supérieure du théâtre allemand avant-gardiste. Rimini Protokoll regroupe sous son label: Helgard Haug, Stefan Kaegi et Daniel Wetzel. Tous trois travaillent alternativement dans différentes constellations: souvent tous les trois ensemble, également régulièrement Haug et Wetzel en duo, Stefan Kaegi a travaillé seul, pour sa part, à plusieurs reprises, bien qu’il ait antèrieurement coopéré avec Bernd Ernst dans „Hygiene heute“. Rimini Protokoll a tout d’abord réalisé ses premiers projets au sein de théâtres privés. Depuis le début de la décennie, le collectif est également invité par des théâtres publics : lors de la saison 2006/07, deux mises en scènes furent présentées au Schauspielhaus de Zürich. Le collectif travaille en outre depuis de nombreuses années à l’étranger (en grande partie à la demande de l’Institut Goethe).
Portrait:
Qui veut savoir ce que fait le collectif théâtral ou le trio de mise en scène regoupé sous l’étrange nom de "Rimini Protokoll", doit se confronter aux termes "réalité" et "fiction". Rimini Protokoll puise ses thématiques au coeur de la réalité. Les projets sont construits à partir de recherches précises, développées à partir de situations existantes dans le lieu original. Le groupe travaille toujours, pour ses mises en scène, avec des amateurs, nommés "spécialistes" par Rimini Protokoll, trouvés au cours des recherches, et qui se présentent ensuite dans les spectacles, tels qu’ils sont.
C’est là, cependant, que commencent les difficultés de distinction, de glissements, d’engrenages et de superpositions entre realité et fiction: on ne sait pas où commence le théâtre et où s’achève la réalité, on ne peut pas et on ne doit d’ailleurs pas le savoir. Il ne s’agit pas ici d’un plaisir à faire des tours de passe-passe, mais plutôt de laisser ressurgir clairement la réalité, par la mise en scène. Le théâtre de Rimini Protokoll ne sépare pas la scène et le public, mais articule toujours les deux sphères selon de nouvelles expériences d’agencements. Il s’agit ici de perception, de récognition du monde et en particulier des Hommes. Il s’agit de percer le complexe, qu’est notre réalité, de le montrer sous toutes ses facettes, de manière à pouvoir ainsi le questionner. Les membres de Rimini Protokoll utilisent leur méthode de manière profondément subtile, dans des constellations toujours plus surprenantes, faisant preuve d’une grande curiosité envers le monde. C’est ainsi qu’ils sont devenus les protagonistes d’un "Mouvement de la Réalité", déjà présent depuis quelques années dans le théâtre allemand.
Ils doivent au Président du Bundestag de l’époque, Wolfgang Thierse, leur gloire fulgurante, après leurs études à Giessen et leurs premiers travaux au sein de théâtres privés. Sous le nom de „Deutschland 2“, ils voulaient, dans la salle d'assemblée désertée du Bundestag de Bonn, faire redire le débat, qui a eu lieu au Reichstag de Berlin le 27 Juin 2002, et ce, par ceux directement concernés : à savoir, des citoyens ordinaires. Thierse interdit cette action au nom de la dignité de l’établissement, déclenchant par-là une discussion sur la liberté de l’art, le rapport de la politique à l’art et les frontières entre théâtre et réalité. Le public sait depuis selon quel positionnement Rimini Protokoll opère. L’action eut finalement lieu au sein de la Theater-Halle de Bonn-Beuel. Le texte des députés fut directement retransmis par des écouteurs aux citoyens de Bonn qui essayèrent autant que possible de le redire simultanément.
Les trois metteurs en scène, organisés en différentes constellations, extraient de la réalité des pièces toujours nouvelles. „Deadline“ (Haug/Kaegi/Wetzel) fut créé dans un lieu fermé par la suite: le Nouveau Cinéma, appartenant au Deutsches Schauspielhaus de Hambourg. Sur la scène qui bientôt n’en serait plus une, se tenait un maire, un tailleur de pierre, un orateur mortuaire et une étudiante en médecine, tous ayant à faire avec la mort par le biais de leur profession. Ils racontèrent leur rapport à la mort. Ces récits furent dramaturgiquement si adroitement construits, se complétant et se reflétant l’un dans l’autre, que furent à la fois visibles un tableau du rapport contemporain à la mort, tout autant que les individualités et l’histoire de chacun avec la mort.
"Sabenation. Go home and follow the news" (Haug/Kaegi/Wetzel) fut semblablement savemment construit. Il y fut question des plusieurs milliers d’employés licenciés par la companie aérienne belge "Sabena". Encore une fois, les participants furent extrêmement bien choisis. Comme toujours "spécialistes", ils jouèrent leur propre expérience. Une fois de plus, on apprit beaucoup sur les dessous de l’affaire et les destins impliqués. On eut devant les yeux un morceau de réalité déployé sous maintes facettes.
Le niveau de triomphe que le théâtre de Rimini Protokoll peut atteindre, se révéla étrangement dans une autre production: justement Wallenstein, (Haug/Wetzel), premier travail à partir d’un texte dramatique classique, mis en scène pour les “Schillertage“ à Mannheim, fut un triomphe lors du casting. Ce qu’on y put apprendre sur le pouvoir et la résistance fut surprenant : à quel point un candidat à la mairie de Mannheim, un chef de la police de Weimar, et encore plus un vétéran de la guerre du Vietnam vivant à Heidelberg peuvent toucher un chacun. Cela créa une telle sensation d’authenticité et de densité, qu’on fut obligé de se dire que l’on assistait là à l’extinction du théâtre, alors qu’en réalité, il s’agissait d’une mise en scène théâtrale d’un très haut niveau artistique. La réalité fut mise en scène, sans perdre son authenticité.
L’intelligence scénique de leur travail devient criante avec "Call Cutta" (Haug/Kaegi/Wetzel). Chaque spectateur reçoit un téléphone portable, au bout duquel se trouve un interlocuteur de Calcutta, chacun expliquant à son auditeur qui se trouve à Berlin, le chemin qu’il doit suivre dans sa propre ville. C’est le lointain centre de téléfonie qui guide et se rapproche, d’une certaine manière, de celui qui écoute. Dans la, jusqu’à présent, dernière production "Cargo Sofia" (Kaegi), les spectateurs sont assis dans un camion par les fenêtres duquel ils voient à la fois l’environnement qui défile, les rencontres fortuites des camionneurs sur les aires de repos et des films retraçant leurs longs voyages. C’est ainsi qu’ils prennent part au monde des camionneurs roulant pour des salaires misérables à travers l’Europe. La réalité au théâtre ne bouleverse nulle part aujourd’hui autant que dans le travail de Rimini Protokoll.
Peter Michalzik
Mujeres Creando
La boliviana María Galindo es inspiradora de Mujeres Creando, un grupo que ha transformado el pensamiento y la acción feminista -y por lo tanto política- en Latinoamérica: muestras y libros como Ninguna mujer nace para puta, documentales como Mamá no me lo dijo, una reciente Constitución feminista y una cantidad asombrosa de realizaciones que denuncian mil caras de la violencia cotidiana, y hasta íntima, y proponen cómo enfrentarla. Aquí María cuenta qué es La Virgen de los Deseos, y explica las recetas gastronómicas y de vida de un feminismo para el siglo XXI.
http://www.lavaca.org/deci-mu/deci-mu-con-mujeres-creando/
http://hemisphericinstitute.org/hemi/es/modules/itemlist/category/235-mujeres-creando
« (…) Nous ne sommes ni des intellectuelles ni des artistes. Nous ne serons ni intellectuelles ni artistes tant que l’art sera si blanc, si décent, si masculin, si décoratif, si inoffensif, si égocentrique et si loin d’une bonne soupe ou d’une merveilleuse rue de pierres. Nous ne sommes pas artistes, nous sommes des agitatrices […]
Mujeres Creando
Fondé par Julieta Paredes, Monica Mendoza et Maria Galindo, le collectif anarcho-féministe bolivien, Mujeres creando, mène depuis 1992 une passionnante élaboration entre intervention urbaine, critique radicale, célébration du corps, du quotidien, des puissances de l’imaginaire. Mujeres creando est notamment célèbre pour ses graffitis et ses actions de rue. Le collectif a également réalisé, en 2001, le film Acciones - Creando Mujeres et publié de nombreux livres.

Socìetas
Raffaello Sanzi
Ao nos depararmos com tais obras, somos impulsionados por uma sensação incômoda, que nos lança, sem qualquer referência reconfortante, plenamente órfãos, à ciranda infinita de seus significados possíveis. E talvez seja isso que nos incite a nos aproximarmos do universo de criação de Romeo Castellucci, um universo que nos propõe, ao mesmo tempo, a violência e a sedução por meio da tensão entre suas imagens e as desconcertantes sonoridades desenvolvidas a partir de sua parceria de anos com compositor Scott Gibbons.
Concebido pelo diretor como “matéria fundamental na construção de uma cena”, o som distinguir-se-ia da imagem na medida em que é capaz de produzir uma emoção não mediada pela consciência, enquanto a segunda agiria dentro da esfera da informação. O trabalho de Castellucci parece se concentrar na articulação entre som e imagem, articulação essa que estará disponível para a leitura9 do espectador. Como ele próprio assinala, a relação entre esses dois elementos resulta ora em harmônicos, ora em dissonâncias. O som, uma vez que penetra o corpo do espectador – inclusive por conta de suas propriedades físicas –, resulta em uma fruição distinta da imagem, situando-se muito mais no campo da sensação, ou seja, instalando-se na memória implícita.
O encenador questiona o teatro sem abrir mão da teatralidade e problematiza a forma teatral a partir de si mesma, de sua materialidade. Ao realizar essa operação de atualização do teatral parece nos indagar sobre a função mesma do teatro em sua relação direta com a cidade (Konigson,1994). Romeo Castellucci não se coloca jamais na posição do artista talentoso, um ser à parte da sociedade, mas do artista cidadão, um trabalhador de ofício, um artesão da matéria. “Mestre de teatro, sem nunca sê-lo (Castelucci 2015ª), talvez resida aí o “escândalo” de sua arte.
Textos extraidos do PDF acessível neste endereço :
https://periodicos.ufrn.br/artresearchjournal/article/view/8301/6815
Compagnia teatrale che ha assunto il nome Socìetas Raffaello Sanzio in onore del grande pittore italiano, maestro della visione. Raffaello è il pittore rinascimentale che unisce alla perfezione della forma l’inquietudine di un mondo che sta rapidamente perdendo i propri punti di riferimento. La compagnia è formata da Claudia Castellucci, Romeo Castellucci e Chiara Guidi che la fondano a Cesena nel 1981, oltre che da numerosi altri collaboratori. Trattasi di un’esperienza fondamentale per le arti della scena, per l’irreversibile alterazione delle convenzioni teatrali e l’intensa volontà di rifondazione sostenuta da scelte estetiche di forte impronta etica e politica. L’orientamento generale che raccoglie tutte le opere, pur nelle loro profonde differenze, è la concezione di un teatro come arte che raccoglie tutte le arti, dove la rappresentazione è completamente aperta verso tutti i sensi della percezione, come in un sistema di forze. La ricerca artistica della compagnia si è sviluppata attraverso un articolato percorso evolutivo. In trenta anni di incessante costruzione iconografica la Socìetas Raffaello Sanzio ha dato forma ad una nuova espressività mutuando linguaggi e pratiche provenienti dall’universo archetipico del discorso (oratoria e retorica), della rappresentazione in pittura e scultura (dal classicismo greco all'araldica ai processi di sintesi granulare dell'immagine al disegno animato), della scienza e della tecnica (dalla fonologia alla meccanica, dalla medicina endoscopica alla chimica e batteriologia), del mondo sonoro (dal canto gregoriano al processamento elettronico e digitale del suono), delle discipline legate alla spazialità (geometria, matematica, astronomia), attraversando e forzando diversi sistemi di rappresentazione, dal teatro, alle arti visive, il cinema, l'opera, la danza, la filosofia, il teatro per l'infanzia. La Socìetas Raffaello Sanzio è passata nei teatri delle principali capitali del mondo ed è stata insignita dei premi internazionali più prestigiosi. Accanto agli spettacoli la Socìetas Raffaello Sanzio ha realizzato progetti editoriali, pubblicato libri di teoria teatrale, ed organizzato diverse manifestazioni nella sede del Teatro Comandini a Cesena.
http://www.xing.it/person/290/societas_raffaello_sanzio
Romeo Castellucci nasce nel 1960 a Cesena. Si diploma in Pittura e Scenografia all’Accademia di Belle Arti di Bologna. Nel 1981 fonda, insieme a Claudia Castellucci e a Chiara Guidi, la Socìetas Raffaello Sanzio. Da allora realizza spettacoli come regista, ideatore di scene, luci, suoni e costumi. I suoi lavori sono stati presentati in più di cinquanta nazioni, prodotti dai più prestigiosi teatri e festival del mondo. Nel 2002 è insignito del titolo di “Chevalier des Arts et des Lettres” dal Ministero della Cultura della Repubblica Francese. È stato direttore artistico della Biennale Teatro di Venezia (2005), “Artiste Associé” alla direzione artistica della 62a edizione del Festival d’Avignon (2008) e artista prescelto per il Tokyo Festival del 2012. Dal 2013 è invitato a produrre alla Schaubhüne di Berlino. Tra i numerosi premi e onorificenze internazionali il recente conferimento del Leone d’oro alla carriera della Biennale di Venezia è l’ultimo importante riconoscimento del suo percorso artistico.
A investigação para este espetáculo, apresentado pela franco-austríaca Gisèle Vienne, leva o espectador a olhar como o ventríloquo como um marionetista, tendo como mote a reconstrução imaginária deste evento realizado anualmente.
Nove ventríloquos em palco reconstroem o encontro anual, baseando a ação nos vários desafios propostos na convenção norte-americana. O público é convocado a ser parte ativa nesta convenção, sentindo a perspectiva do ventríloquo em contacto com o seu boneco (ou a sua segunda pele).
Gisèle Vienne nasceu em 1976. Depois de se formar em Filosofia, estudou na escola de marionetas EcoleSupérieureNationale des Arts de la Marionnette. Foi lá que conheceu Etienne Bideau-Rey, com quem criou os primeiros trabalhos. Trabalha regularmente com os escritores Dennis Cooper e Catherine Robbe-Grillet, com os músicos Peter Rehberg e Stephen O’Malley, o designer de luz Patrick Riou e o ator Jonathan Capdevielle. Desde 2004, coreografou e dirigiu, em colaboração com o escritor Dennis Cooper, “I Apologize” (2004) e “Une belle enfant / A young, beautiful blond girl” (2005), “Kindertotenlieder” (2007) e “Jerk, (Junho de 2007). Em 2009, criou “EternelleIdole” com um patinador de gelo e um ator e reescreve “Showroomdummies” com Etienne Bideau-Rey e em 2013 reescrevem-no novamente para o CCN - Ballet de Lorraine. Desde 2005 que tem apresentado ainda as suas fotografias e instalações.
https://pt-br.facebook.com/events/563468203853189/?active_tab=about
Gisèle Vienne, née en 1976, est une artiste, chorégraphe, marionnettiste et metteur en scène franco-autrichienne. Créatrice multiforme, Gisèle Vienne explore de façon radicale les liens entre le corps, la parole, le sexe et la mort.
«Je ne suis pas la reine de l’humour, j’ai plutôt la réputation de créer des pièces sombres», prévient-elle aussi. Ces thèmes de prédilection n’ont en réalité pas quitté le plateau : on y parle de suicide, de la mort, de la violence, de pratiques sexuelles étranges et de fantasmes divers.
Presque a contrario de son apparence sage et classique, Gisèle Vienne parle avec animation de son travail, de la puissance textuelle de Dennis Cooper, l’écrivain américain qui l’accompagne depuis 2004, de l’amour du jeu de Jonathan Capdevielle, de la nécessité de la «dépense improductive» (tirée du culte la Part maudite, de Bataille) du spectacle vivant. Brouillant les pistes, Gisèle Vienne se trouve dans tous les champs à la fois, même si elle revendique celui de la chorégraphie dans lequel elle a fondé sa compagnie en 1999.
Mais il y a une énergie hors du commun chez cette frêle artiste, qui transforme les pensées macabres et perverses en des armes esthétiques et sensibles. Un ressort phénoménal, entre fragilité et acier.
Elle manie le pouvoir de suggestion, celui qui laisse de la place à l’esprit du spectateur pour y mettre ce qu’il ressent. «J’utilise des stimuli fantasmatiques forts, des signes qui font réagir physiquement et intellectuellement.» Elle a rodé ses effets, tissant sa toile dans la précision, dans la dentelle, ennemie du flou artistique et de l’improvisation. «Il faut que je force le trait parce que j’aime les œuvres intenses. On a aussi besoin d’avoir un dialogue avec des pensées inconvenantes, des pensées immorales.»
Licenciée en philosophie, elle opte pour le concours de l’Ensam, à Charleville, renonçant à celui de Normale Sup. Les marionnettistes qui l’intéressent alors, ce sont les plasticiens. «J’ai toujours été excitée par la sculpture en mouvement, les expositions de Paul McCarthy, Mike Kelly, Hans Bellmer. Pour moi, tout ça c’était de la marionnette !» Malgré ou en raison de son profil atypique, Charleville l’accueille à bras ouverts. Par un pur hasard, elle y est d’ailleurs née en 1976, n’y a vécu que jusqu’à l’âge de 3 ans. La découverte du bunraku, le théâtre de marionnettes traditionnel japonais, est un choc. May Be, de Maguy Marin, lui ouvre la voie vers la chorégraphie en lien avec la marionnette.
http://next.liberation.fr/culture-next/2015/10/08/gisele-vienne-la-femme-et-les-pantins_1400032
Gisèlle Vienne
